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En bref : • La Californie propose d'autoriser les tests de camions lourds autonomes sur les routes publiques, exclusivement sur des itinéraires sélectionnés et autoroutes, évitant les zones urbaines. • Certaines restrictions s'appliquent: les véhicules transportant des passagers ou des matières dangereuses ne pourront pas participer aux tests initialement. • Les exigences de test sont rigoureuses: 500 000 miles minimum pour les camions lourds contre 50 000 miles pour les véhicules légers. • Une audience publique est prévue le 10 juin pour discuter plus en détail de ces propositions réglementaires. • La course aux camions autonomes s'intensifie avec Tesla qui développe son modèle Semi, tandis que le gouvernement américain cherche à accélérer le déploiement de cette technologie. |
La Californie s’apprête à ouvrir la voie aux camions poids lourds autonomes, avec un projet qui pourrait changer la donne sur la route. Imaginez un avenir où la technologie se met au service de la logistique ! Comment cette nouvelle régulation influencera-t-elle la façon dont nous percevons le transport ?
Sommaire
Une avancée réglementaire prometteuse
Le Department of Motor Vehicles de Californie a récemment proposé d’autoriser les tests de véhicules autonomes sur les routes publiques pour les camions lourds. Actuellement, ces mastodontes, pesant plus de 10 000 livres, sont exclus de ces essais, tout comme dans d’autres états tels que le Texas ou l’Arkansas.
Quelles seront les règles ?
Ce projet de loi limiterait les tests aux itinéraires soigneusement sélectionnés, garantissant le respect des normes de taille et de poids. Les villes, pour leur part, resteront à l’écart de ces expérimentations, qui seront essentiellement réservées aux autoroutes majeures.
Restrictions à l’horizon
De plus, certains véhicules lourds, comme ceux transportant des passagers ou des matières dangereuses, ne seront pas autorisés à participer aux tests jusqu’à nouvel ordre. Ces précautions visent à assurer la sécurité des usagers de la route.
Vers un nouvel avenir du transport
Le DMV prévoit d’organiser une audience publique le 10 juin pour discuter plus en profondeur de ces propositions. Depuis août, la Californie s’efforce de mettre en place un cadre légal pour la circulation des véhicules autonomes, incluant même des révisions potentielles des exigences pour les véhicules légers.
Exigences de tests : un marathon de kilomètres
Pour obtenir un permis de test autonome, les fabricants devront parcourir un minimum de 50 000 miles, tandis que les constructeurs de camions lourds devront réaliser au moins 500 000 miles. Curieusement, jusqu’à 40 000 miles peuvent être effectués en dehors de l’État. Cela montre à quel point la Californie prend au sérieux la sécurité routière avant de lâcher ces géants de la route.
Une concurrence renforcée
L’actualité sur les camions autonomes est d’autant plus pressante que le gouvernement américain, sous l’administration précédente, avait déjà amorcé des mesures pour accélérer leur déploiement. Bien que le système de conduite entièrement autonome de Tesla ne soit pas encore disponible pour son modèle de Semi, des tests sont en cours.
Tesla, quant à elle, multiplie les efforts pour augmenter sa production de ce véhicule, tout en développant des installations visant une production à grande échelle. Cela souligne le dynamisme et l’attractivité de l’industrie automobile face à l’innovation.
Et après ?
Alors, que nous réserve l’avenir ? Avec ces nouvelles régulations, la Californie pourrait devenir un laboratoire à ciel ouvert pour l’avenir du transport. Pensez-vous qu’une large adoption des camions autonomes pourrait changer notre rapport à la logistique et au travail de livraison ? L’avenir nous le dira.
Moi, c’est Justine Le Brasr, de Rennes, passionnée de maisons. J’adore dénicher des astuces déco, mais ce qui m’étonne, c’est comment une véranda peut devenir le théâtre de retrouvailles familiales épiques. Les murs ont vraiment des histoires à raconter !
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